Témoignages

Témoignage anonyme - Victime d'un grave accident suite à une collision avec une voiture

Samedi 24 juin 2023. C'est une belle journée d'été qui commence et nous avons un beau programme pour le week-end. Mon mari débute sa journée par une sortie VTT sur un parcours qu'il a l'habitude d'emprunter. 11H30 , le drame. Il percute une voiture à la sortie d'un chemin forestier. Le choc est violent, très violent. En urgence absolue, et devant la gravité de ses blessures, il est héliporté à l'hopital Lyon-Sud à Pierre-Bénite. Il subit de nombreuses interventions chirurgicales. Il passe 2 semaines en réanimation puis est transféré dans une unité de soins continus, toujours à Pierre-Bénite.

D'autres interventions chirurgicales seront encore programmées au niveau de la hanche gauche et du bassin . Les blessures sont graves, et les séquelles seront lourdes.

Que s'est t'il passé ? Lui qui est si prudent d'habitude.Il se souvient avoir vu la voiture, mais a sans doute mal jugé la distance. Ebloui par le soleil ? Lunettes non adaptées ?

Première victime collatérale, c'est le choc émotionnel, le chaos dans ma tête. Je suis épuisée, angoissée. Quel est l'avenir, à court, moyen, long terme ? En plus de l'inquiétude sur son état de santé, il est très probablement responsable de ce qui lui arrive.

(PV de gendarmerie toujours en cours à cette date). Je suis persuadée que nous n'avons aucun droit.

Et puis, "une étincelle". Je me suis souvenue qu'il y a quelques années, j'ai croisé par le biais de mon travail une jeune personne qui avait été victime aussi d'un grave accident. Elle nous avait alors distribué des cartes d'une association qui l'avait aidée. Touchée par son histoire, j'ai précieusement gardé cette petite carte dans mon portefeuille. Je l'ai retrouvée : E.I.V.A Ecoute et Information aux Victimes d'Accidents. J'hésite....je me lance et j'envoie un message. Très vite, j'ai été contacté par Mr Jean-Christophe GRANGE. Son écoute , sa bienveillance, et ses compétences m'ont tout de suite rassurée. Il m'oriente vers Maitre Ingrid GERAY qui me rend très vite visite. Je suis en confiance tout de suite. Je la sens très professionnelle. E.I.V.A va nous aider,nous ne sommes plus seuls.

Mon mari a été transféré au M.P.R de Bellevue le 16.08, où il se trouve toujours actuellement, et certainement, encore pour de longs mois. Bien sur, nous espèrons des progrès, mais beaucoup de questions se posent encore.

Je tiens à remercier chaleureusement l'association E.I.V.A, particulièrement Mr Jean-Christophe GRANGE et Maitre GERAY pour l'aide et le soutien qu'ils m'apportent et qui sont d'un grand secours pour moi qui suis encore bien fragile face à ce tsunami d'émotions et d'incertitude face à l'avenir. Notre combat ne fait que commencer mais je me sens épaulée.

Encore merci. Cordialement
L.D.

Témoignage anonyme - Victime d'un accident de la route suite à une collision avec une voiture

J'ai été renversé par une voiture alors que je circulais à vélo. Je n'ai aucun souvenir de l'accident mais il aura marqué ma vie à jamais.

Après plusieurs années je me bat toujours pour essayer de retrouver une partie de mes facultés physiques et mentales passées. J’ai effectué plusieurs séjours en centre, passé des centaines d’heures en rééducation et ce n’est pas terminé. A côté de ce combat épuisant, douloureux, j'ai dû en mener un autre celui de la reconnaissance de mon préjudice.

Ce combat-là est semé d’embûches, de rencontres détestables où l'empathie à l'égard de la victime ne pèse pas lourd face aux intérêts des compagnies d'assurance, des experts mais aussi des avocats opportunistes.

Au départ j'ai fait confiance à mon assurance, j'ai suivi ses conseils, accepté d'être accompagné par son médecin expert et son avocat conseil.

Cela m'a conduit, 2 ans après l'accident, à me retrouver devant un expert (qui travaillait je l’ai su plus tard, indifféremment pour ma compagnie d'assurance mais aussi celle adverse) machiavélique, cynique aux méthodes bien rodées pour déstabiliser la victime, la harceler de questions sans lui laisser le temps de répondre, mettre en cause l'imputabilité des séquelles pour finalement lui asséner comme un torero la pique finale : foutaise monsieur, vous n'avez presque rien et estimez-vous heureux que je reconnaisse l'imputabilité de ce presque rien à l'accident.

Je suis sorti de cette expertise, humilié, dans un état second comme un comateux incapable de parler. Et pour finir le médecin conseil de mon assurance de se féliciter du résultat et de me conseiller vivement d'accepter cette expertise car selon lui une expertise judiciaire pourrait être moins favorable.

J'ai fait des cauchemars pendant des mois et encore aujourd'hui la simple évocation de ce simulacre d'expertise me révolte.

A ce moment-là j'ai ressenti une grande solitude mais aussi une grande injustice : combattre la douleur c'est difficile mais l'injustice c'est insupportable. Avoir la sensation de passer du statut de victime à celui d'accusé je ne le souhaite à personne.

Après plusieurs tentatives (avocat du coin spécialisé en tout, association d’aide aux victimes fantasque etc..), j'ai eu la chance de tomber sur l’association E.I.V.A qui m’a tout de suite orienté vers le cabinet de Maître GERAY, spécialisé dans l’aide aux victimes.

Dès le premier contact, j'ai compris que j'avais trouvé la bonne personne. J'ai senti dans ses questions, son écoute, qu'elle avait l'habitude de ce genre de situation.

La route fut longue car la procédure a duré au total plus de 6 ans mais aujourd'hui j'ai la certitude d'avoir obtenu une indemnisation à la hauteur de mon préjudice. Grâce à Me GERAY et le Docteur MESGUISH, outre la reconnaissance d’une perte de chance professionnelle, j’ai obtenu 2 heures par jour d’aide à la personne contre 1 heure par semaine lors de la première expertise soit 14 fois plus !

quelques conseils :

  • Dans le cas d’accident grave, ne pas faire confiance à sa propre assurance dans l'évaluation de son préjudice encore plus si vous avez la même que le chauffard qui vous a renversé. Dans tous les cas sachez que l'expert qu'elle va désigner travaille très certainement aussi avec la compagnie adverse sur d'autres dossiers. L’intérêt personnel de cet expert est donc de minimiser votre préjudice pour éviter de froisser ses employeurs. Sachez que vous êtes pour eux un dossier sur une pile et que cette pile, elle est alimentée par les compagnies d'assurance...
  • Ne pas confier son dossier à "l’avocat du coin" qui traite aussi bien les divorces que les problèmes de voisinage et qui se dit compétent en tout. L’aide aux victimes c’est une vrai spécialité. Un bon test pour choisir son avocat : demandez-lui le nom du médecin expert indépendant (c’est à dire qui ne travaille pas aussi pour les assurances) avec lequel il travaille. S’il hésite, à vous répondre c’est qu’il n’en connaît pas. Dans ce cas fuyez!

Merci à l’association EIVA pour son écoute et son orientation et merci à Me GERAY et le Dr MESGUISH pour leur soutien et leur disponibilité tout au long de la procédure. "

Témoignage de Philippe GRÉGOIRE - Victime d'un accident de la route ayant entraîné le décès de son beau-père

Causé par un automobiliste imprudent, c'est en représentant la famille que j'apporte ce témoignage. Le 20 février 2015, près de Feurs dans la Loire mon beau-père part faire son sport habituel, le vélo de course. Habitué des routes de la Loire très roulantes, il privilégiait toujours les routes secondaires pensant être plus en «sécurité». Mais ce jour là, tout à basculé !

À une intersection où il avait priorité, il à été heurté violamment par une voiture qui ne l'a pas vu, qui a coupé la route à gauche avant l'intersection (refus de priorité à droite) alors qu'il n'y avait aucune visibilité et qui roulait à 35 km/h d'après le rapport de l'expert désigné par le Procureur de la République. Heurté de face et projeté sur plus de 10m, les chances de survie de mon beau père étaient infimes. Pris en charge par les pompiers de Feurs, puis héliporté à l'hôpital Nord de Saint-Étienne, son pronostic vital est engagé. Le docteur DARMON nous a informé que ses chances de survie infimes soient elles, laisseraient des sequelles irrémédiables.

Nous sommes restés quatre jours auprès de mon beau père avec l'ultime espoir d'un miracle, car il ne pouvait s'agir que d'un miracle. Puis il est parti nous laissant dans un désespoir que jamais nous n'aurions imaginé. Tout s'écroule autour de nous...

Les jours qui ont suivi n'ont pas été des plus simples, tous les documents administratifs que vous devez accomplir, les déclarations d'assurances, les démarches auprès de la gendarmerie pour le dépôt de plainte et pour le suivi de l'enquête. Puis face à notre assurance protection juridique qui ne nous tiens pas informé, voir reste sous silence en ne nous communiquant aucune information, nous avions des doutes.

C'est à ce moment là que j'ai contacté Philippe GIRODET de l'Association EIVA, qui m'a expliqué que les assurances ont des accords propres à eux fixant des barèmes d'indemnisation à minima, que les avocats nos assurances ne sont pas des spécialistes qui défendent nos droits bec et ongles au tribunal.

Celui-ci m'a orienté vers Maître Ingrid GERAY, avocat spécialisé dans les accidents de la route à Saint-Étienne. Dès lors, l'affaire engagée avec Maître GERAY pris forme. Après démarches administratives de son côté et recherche d'information sur le terrain de mon côté, nous avons échangé pour déboucher sur un dossier avec des informations permettant de faire valoir nos droits.

Le 05 avril 2016 le Tribunal de Grande Instance de Saint-Étienne, condamne l'automobiliste adverse à huit mois de prison avec sursis, à deux ans de suspension de permis et 200€ d'amende. Maître Ingrid GERAY s'est ensuite chargée du poste de préjudice subi pour les ayants droits auprès de la compagnie d'assurance de l'accusé.

C'est pour ces raisons que je témoigne, à la mémoire de mon beau père, afin d'informer les victimes où leurs proches qu' il faut s'entourer de personnes compétentes et à l'écoute. Je remercie Philippe GIRODET pour ses conseils et Maître Ingrid GERAY, pour son écoute et son travail.

Témoignage de M. et Mme CHATELET - Victimes d'un accident de moto

Nous avons eu la chance d'avoir à nos côtés l'assistance de maître Ingrid Geray pour nous aider dans le dossier de Mr JY CHATELET. Hospitalisé au clos Champirol en 2011, suite à un accident conséquent de moto, nous avons été contacté par l'association de victimes de la route et oriéntés vers le cabinet Geray. Les procédures sont longues, chronophages et de nombreux points n'auraient pu être réglés par nous sans l'appui d'avocats. Nous ne pouvons que nous féliciter et remercier Ingrid Geray de son aide. Après des années de procédure, le dossier est clos et nous en sommes ravis.

Merci encore

Catherine et JY CHATELET

Témoignage de Lynda MARCHET - Victime d'un accident de la circulation

Le 17 juin 2013 je suis partie de chez moi pour aller au travail, J'ai pris mon véhicule une fois celui-ci garé je me suis engagée sur le passage piéton et là à 7h50 ma vie à basculée...

J'ai été heurté par une voiture qui ne m'a pas vu elle roulait à environ 50 km/h ou un peu plus d'après le rapport de gendarmerie et m'a projetée sur 10m.

Résultat traumatisme crânien grave, héliporté à l'hôpital Nord, pronostic vital engagé et 8 jours après les médecins ont dit à mon mari que je pouvais rester en état végétatif ou aller mieux avec de la chance. Du jour de l'accident au 16 juillet 2013 j'ai été au service réanimation de l'hôpital nord.

Chance je l'ai eu car j'ai été prise en main par le Docteur SARRAF à l'hôpital Nord, ensuite j'ai été au SRPR de l'hôpital Nord puis en rééducation à Sainte Foy l'Argentière et à l'HTP de Bellevue ou je suis toujours suivie à ce jour...

Il a fallu tout réapprendre : à parler à marcher enfin tout. Et je suis toujours en rééducation, kiné normal, kiné vestibulaire, orthoptiste, psychiatre, je suis suivie par des gens sympas et très compétents.

Mais jamais laissé seule face aux problèmes inhérent à l'accident j'ai pris une avocate Ingrid GERAY qui me suit pour la défense de mes intérêts le Docteur MESGUICH qui lui m'épaule dans les expertises, Jeanne SENECHAL qui me fait de la PNL car dans un accident tout change votre vie se modifie et il faut s'adapter.

J'ai aussi adhéré à l'association EIVA car il ne faut pas rester seul et sans aide face aux problèmes que cela peut et va engendrer il faut s'entourer de gens compétents et à l'écoute.

Témoignage de Alain Lacote - Victime d'un accident de moto

Histoire de collision entre deux motos en milieu urbain - banal me direz-vous - oui sauf qu'elle entraîne toute la suite de tracas qui vont avec : blessures, séjour à l'hôpital, kiné, arrêt de travail, soucis administratifs etc...

Précision : je ne suis pas responsable dans cet accident (un cas de refus de priorité de la partie adverse)

Par insouciance je ne réagis pas dans les semaines qui suivent (erreur)

Courant Octobre sur ces entrefaites, je rencontre un certain M. Chambefort. Nous parlons de mon aventure. Il me conseille de me mettre en rapport rapidement avec l'association E.I.V.A (Ecoute et Information aux Victimes d'Accidents) je fais la connaissance de M. Philippe Girodet et de M. Christophe Grange, des personnes très humaines, compétentes. Une relation de confiance s'installe. Les choses vont s'enchainer et le dossier s'instruit rapidement à partir du 10 Novembre malgré une plainte tardive.

Un dossier médical est monté avec l'aide des personnes précitées et aussi avec le médecin conseil de cette équipe M. Alain Mesguich. Je cite aussi Maître Ingrid Geray pour la partie juridique concernant tout ce qui concerne la partie assurances, dédommagements etc...

Que dire de cette équipe ?

Et bien tout simplement un très grand merci. Je dirai qu'elle est efficace et très professionnelle.

P.S : Ma fille Perrine a eu aussi un accident de voiture le 16 Août 2009 en tant que passagère et ses blessures étaient plus importantes que les miennes et c'est cette très bonne équipe qui l'a prise en charge. Le dossier n'est pas clos. Une bataille entre assurances continue ; la patience s'impose.

Pour ma part, j'ai été honnêtement dédommagé assez rapidement.

Bonne continuation à l'association E.I.V.A

Alain Lacote
Document original

Témoignage de Sofia Cardoso - Victime d'un accident de la circulation

J'ai été victime d'un accident de la circulation le 25 juin 2005, par une après-midi ensoleillé nous avons décidé mon fiancé et moi de faire un tour du lotissement en quad, mais malheureusement nous ne sommes jamais arrivé à destination car après avoir perdu le contrôle du quad nous avons percuté un poteau EDF de plein fouet. Cela a coûté la vie à ma moitié qui est décédé sur le coup, quant à moi j'ai fais 32 mois d'hôpital et j'ai subi de multiples opérations.

Je remercie tous les membres de l'association E.I.V.A. que j'admire pour l'aide et le soutien qu'ils m'ont apporté au cours de cette dure période, grâce à cette super association j'ai réussi à trouver la force de relever la tête de l'eau malgré mes séquelles qui ne me permettent plus d'exercer mon métier, j'ai été indemnisée convenablement de façon à pouvoir continuer à mener une vie décente.Toute l'équipe a été vraiment formidable et à mon écoute, je leur serai éternellement reconnaissante et c'est pour ces raisons que j'ai décidé de devenir bénévole au sein de l'association E.I.V.A. car je souhaite apporter l'aide que j'ai reçu moi-même à des personnes qui se retrouvent contre leur volonté dans la même situation que moi.

Sofia Cardoso

Témoignage d'un adhérent qui a souhaité gardé l'anonymat

Mon accident à eu lieu dans la nuit du 9 au 10 juin 2006 vers 2h00 environ. J'étais en voiture et je rentrais d'une soirée chez mes parents à St Etienne, lorsqu'un véhicule, qui a "grillé" le feu rouge, m'a percuté de plein fouet. Semi-conscient suite à l'impact et coincé dans le véhicule suite à la violence de l'impact, les pompiers sont intervenus immédiatement et m'ont désincarcérés. Je me souviens vaguement de la période après l'accident et avant mon arrivée à l'hôpital, seulement que je ressentais une douleur intense et vive à la tête.

Le diagnostic a vite été posé : traumatisme crânien. Sur le coup, je n'ai pas saisi l'importance du traumatisme crânien. Seulement les conséquences sont vites apparues (douleurs, migraines, et le pire, pertes de mémoires).

Je commençais à me remettre doucement et à vouloir reprendre ma vie en main, malgré le handicap, quand les problèmes administratifs ont fait surface. Avec l'aide de mes parents, nous nous heurtions à un mur. L'assurance nous baladait pour gagner du temps. Ce n'est qu'au bout de 3 ans et de lourdeurs administratives que j'avais obtenu de l'assurance un indemnité dont je cherchais à comprendre le détail.

C'est à ce moment là que j'ai rencontré M. Philippe GIRODET, Président de l'Association EIVA. D'une part, lorsque vous rencontrez des personnes qui ont vécu le même calvaire, vous vous sentez libérés et d'autre part vous vous sentez compris. Il a pris le temps et m'a expliqué clairement ce que l'association pouvait faire pour moi et m'a mis en relation vers une avocate, Maître GERAY, qui a su m'apporter, en plus de ses compétences juridiques, un soutien et une franchise sur le process qui se mettait en place.

Grâce à l'intervention de l'Association EIVA, au travers de Maître GERAY, j'ai obtenu le doublement de mon indemnité. Mais plus que de l'argent, bien que ce ne soit pas négligeable, c'est un véritable soutien et une écoute que j'ai rencontré. De vrais professionnels au service des victimes, qui sont trop souvent fragiles et désemparées, est une ressource inestimable.

Je souhaite surtout que mon témoignage permettent aux personnes se trouvant dans une situation similaire de savoir qu'elles ne sont pas seules et surtout qu'elles doivent être accompagnées et guidées dans les démarches et procédures. Pour ma part, je culpabilisais sur ce qui m'était arrivé, puisque ma mère m'avait déconseillé de sortir ce soir là. Il faut aussi faire prendre conscience aux gens de ce temps perdu que l'on ne retouvera jamais et du fait de réorganiser sa vie en fonction du handicap.

Je rebondis sur le non respect des règles essentiels et primaires du code de la route. En effet, j'ai été victime d'un conducteur qui n'a pas cru bon de s'arrêter au feu rouge. La pénalisation de ce genre d'infractions est à étudier. Le renforcement de la sécurité routière lancée par M. CAZENEUVE reste incomplet et superficiel à mon avis. D'une part, le titulaire du permis de conduire doit suivre régulièrement des formations de sensibilisation à la sécurité. Quant aux constructeurs automobiles, la construction de voitures moins puissantes et plus sécurisées doit devenir un de leurs principaux objectifs. Je n'ai par ailleurs rien vu concernant la surpuissance des scooters à 3 roues.

Livre témoignage - L'affaire Laurent GARROUSTE

L'envol du cygne noir